infiltration ganglion impar

Bonjour,
je suis nouveau sur le forum. J'essaye d'y voir plus clair pour ma problématique de douleurs périnéales.
Je vais résumer mon parcours jusqu'à présent. Début des douleurs avril 2020, 1 mois après mon opération pour une hernie discale L5-S1 qui s'est bien passée, brutalement en une nuit. Je me réveille le matin avec des grosses douleurs périnée, scrotum, verge, fesses. Direction les urgences, je ressors avec un traitement morphinique qui n'arrangera rien. Puis les douleurs étant fortes, je suis hospitalisé une semaine au CHU en rhumatologie. Résultat, on me donne plus de morphine, qui ne règle toujours rien. Puis finalement je ressors avec du laroxyl 25gttes qui me fera gagner 30 à 40%. Je vous passe les "ce n'est pas possible d'avoir mal là après votre opération" ou "vous avez du angoisser"... Bref je suis sidéré du peu de confiance qu'on m'a donné en tant que patient, surtout de la part du professeur chef de service "c'est sûrement dans votre tête, et une douleur qu'on ne peut expliquer, elle finit par passer toute seule..." que voulez-vous dire à cela. Bref du côté des examens Radio bassin RAS, IRM Ras. Arrêt du travail, que je n'avais de toute façon pas repris depuis mon opération de hernie.
Suite à cela, Je fais le point avec mon médecin traitant, qui heureusement est très à l'écoute. J'ai des douleurs quotidiennes : sensation de tiraillement dans toute la zone périnéale (majorée à gauche et à l'assise), également parfois sensation de brûlure froide, paresthésies à l'entre-jambe qui apparaissent en position assise ou debout statique, parfois sensation de pesanteur sur le coccyx, hypersensibilité du scrotum et de la verge au port des sou-vêtement et vêtements serrés. Reprise du travail à mi-temps thérapeutique début Juillet. ça fait du bien au moral et me permet, même si les douleurs sont bien là, de mieux les appréhender. Etant jardinier et donc avec un métier physique, il ne m'est pas possible de faire des journées complètes. Je commence la kiné avec un kiné spé dans les douleurs pelvi-perinéales. Massages externes, internes et étirements.
Au vue des douleurs ressenties, mon médecin m'adresse au CHU de Nantes. Je reçois une convocation pour Juillet 2021?! Je décide donc de chercher quelqu'un qui pourra me faire avancer plus rapidement. Je suis dans la région angevine. Je trouve le docteur K. qui consulte sur Paris et qui peut me recevoir rapidement. J'ai donc, depuis 2 mois pu avancer avec lui. Au vue de la description des douleurs, il me propose un bloc-test à la pince ligamentaire qui fera quasiment disparaître les douleurs mais pendant 15 min seulement. Au bout d'une heure, elles sont revenues comme avant. Légère hausse des douleurs pendant 3 jours. Jugeant ce test peut concluant, il me fait le 13 décembre, des infiltrations dans les trous sacrés S2 S3 15 jours plus tard. La, je ne constate aucune baisse des douleurs. Par contre, je ressent une hausse des douleurs dès le lendemain, hausse qui est en train de s'atténuer aujourd'hui.
Je fais donc le point avec le docteur K. fin novembre. A l'examen il retrouve un syndrome myofascial élévateur de l'ani et obturateur interne. mes douleurs sont cliniquement compatibles avec une névralgie pudendale. Ce que mon kiné avait également retrouvé (avec en plus contracture des jumeaux). Le fait que je n'ai pas eu de baisse significative de la douleurs lors des 2 bloc-tests est surprenant. Il me propose donc un autre examen pour cibler les douleurs plutôt musculaires et toujours essayer de comprendre ce qu'il se passe. Il va donc me faire une infiltration du ganglion impar avec radio fréquence pulsée sûrement courant Janvier.
Aujourd'hui je suis avec un fond douloureux à 3 - 4 et des pointes surtout dans l'après-midi et la soirée à 6 - 8. Ce qui est plus dur à gérer est le fait que les douleurs soient constantes. Côté travail j'ai changé de poste car celui de jardinier était trop physique. Je suis donc plus dans la conception de projet, toujours à 50%, avec un bureau adapté qui se monte et se baisse me permettant de travailler debout. C'est mieux même si je me rend compte que la position debout statique entretient les douleurs. Je vais tenter progressivement de reprendre à 100%. Heureusement le végétal me passionne, cela me permet de rester bien dans ma tête, avec en plus le soutien sans failles de mon cocon familial. Ce qui m'a vraiment aidé pour l'instant : le soutien famillial, le laroxyl (gain de 30 à 40 % par rapport au début), les bouillottes chaudes, le port de vêtements amples (je relance la mode de la salopette!), un coussin fait maison en forme de u, des exercices de respiration, la marche avec ma chi**** notamment.
Je me pose des questions bien sûr comme beaucoup d'entre vous j'imagine. Quelqu'un a-t-il un retour positif de l'infiltration du ganglion impar? les blocs-tests sont-ils infaillibles, ou peut-il y avoir des faux négatifs?
je suis nouveau sur le forum. J'essaye d'y voir plus clair pour ma problématique de douleurs périnéales.
Je vais résumer mon parcours jusqu'à présent. Début des douleurs avril 2020, 1 mois après mon opération pour une hernie discale L5-S1 qui s'est bien passée, brutalement en une nuit. Je me réveille le matin avec des grosses douleurs périnée, scrotum, verge, fesses. Direction les urgences, je ressors avec un traitement morphinique qui n'arrangera rien. Puis les douleurs étant fortes, je suis hospitalisé une semaine au CHU en rhumatologie. Résultat, on me donne plus de morphine, qui ne règle toujours rien. Puis finalement je ressors avec du laroxyl 25gttes qui me fera gagner 30 à 40%. Je vous passe les "ce n'est pas possible d'avoir mal là après votre opération" ou "vous avez du angoisser"... Bref je suis sidéré du peu de confiance qu'on m'a donné en tant que patient, surtout de la part du professeur chef de service "c'est sûrement dans votre tête, et une douleur qu'on ne peut expliquer, elle finit par passer toute seule..." que voulez-vous dire à cela. Bref du côté des examens Radio bassin RAS, IRM Ras. Arrêt du travail, que je n'avais de toute façon pas repris depuis mon opération de hernie.
Suite à cela, Je fais le point avec mon médecin traitant, qui heureusement est très à l'écoute. J'ai des douleurs quotidiennes : sensation de tiraillement dans toute la zone périnéale (majorée à gauche et à l'assise), également parfois sensation de brûlure froide, paresthésies à l'entre-jambe qui apparaissent en position assise ou debout statique, parfois sensation de pesanteur sur le coccyx, hypersensibilité du scrotum et de la verge au port des sou-vêtement et vêtements serrés. Reprise du travail à mi-temps thérapeutique début Juillet. ça fait du bien au moral et me permet, même si les douleurs sont bien là, de mieux les appréhender. Etant jardinier et donc avec un métier physique, il ne m'est pas possible de faire des journées complètes. Je commence la kiné avec un kiné spé dans les douleurs pelvi-perinéales. Massages externes, internes et étirements.
Au vue des douleurs ressenties, mon médecin m'adresse au CHU de Nantes. Je reçois une convocation pour Juillet 2021?! Je décide donc de chercher quelqu'un qui pourra me faire avancer plus rapidement. Je suis dans la région angevine. Je trouve le docteur K. qui consulte sur Paris et qui peut me recevoir rapidement. J'ai donc, depuis 2 mois pu avancer avec lui. Au vue de la description des douleurs, il me propose un bloc-test à la pince ligamentaire qui fera quasiment disparaître les douleurs mais pendant 15 min seulement. Au bout d'une heure, elles sont revenues comme avant. Légère hausse des douleurs pendant 3 jours. Jugeant ce test peut concluant, il me fait le 13 décembre, des infiltrations dans les trous sacrés S2 S3 15 jours plus tard. La, je ne constate aucune baisse des douleurs. Par contre, je ressent une hausse des douleurs dès le lendemain, hausse qui est en train de s'atténuer aujourd'hui.
Je fais donc le point avec le docteur K. fin novembre. A l'examen il retrouve un syndrome myofascial élévateur de l'ani et obturateur interne. mes douleurs sont cliniquement compatibles avec une névralgie pudendale. Ce que mon kiné avait également retrouvé (avec en plus contracture des jumeaux). Le fait que je n'ai pas eu de baisse significative de la douleurs lors des 2 bloc-tests est surprenant. Il me propose donc un autre examen pour cibler les douleurs plutôt musculaires et toujours essayer de comprendre ce qu'il se passe. Il va donc me faire une infiltration du ganglion impar avec radio fréquence pulsée sûrement courant Janvier.
Aujourd'hui je suis avec un fond douloureux à 3 - 4 et des pointes surtout dans l'après-midi et la soirée à 6 - 8. Ce qui est plus dur à gérer est le fait que les douleurs soient constantes. Côté travail j'ai changé de poste car celui de jardinier était trop physique. Je suis donc plus dans la conception de projet, toujours à 50%, avec un bureau adapté qui se monte et se baisse me permettant de travailler debout. C'est mieux même si je me rend compte que la position debout statique entretient les douleurs. Je vais tenter progressivement de reprendre à 100%. Heureusement le végétal me passionne, cela me permet de rester bien dans ma tête, avec en plus le soutien sans failles de mon cocon familial. Ce qui m'a vraiment aidé pour l'instant : le soutien famillial, le laroxyl (gain de 30 à 40 % par rapport au début), les bouillottes chaudes, le port de vêtements amples (je relance la mode de la salopette!), un coussin fait maison en forme de u, des exercices de respiration, la marche avec ma chi**** notamment.
Je me pose des questions bien sûr comme beaucoup d'entre vous j'imagine. Quelqu'un a-t-il un retour positif de l'infiltration du ganglion impar? les blocs-tests sont-ils infaillibles, ou peut-il y avoir des faux négatifs?