FORUM NEVRALGIE PUDENDALE

Bonjour,

J'ai été convoquée déjà 3 fois chez un "médecin expert" qui m'a renouvelé mon mi-temps thérapeutique pour 3 mois (a juste pris ma tension, en 5 minutes, j'étais sortie), mais le problème c'est qu'on a droit à 1 année de mi-temps thérapeutique pour la même pathologie pendant toute sa carrière. Et 1 an avec notre pathologie, c'est très peu ! Ces médecins conseils doivent rencontrer des "fraudeurs" et c'est vrai que notre souffrance n'est pas visible, d'où sûrement leurs réticences

Travailler avec les traitements que nous prenons, c'est pas évident. Le matin, je mets deux heures à brancher mes neurones, donc j'y vais l'après-midi. Pour ma part, je peux y aller en transport en commun, mais pour celui qui doit conduire et qui est éloigné de son lieu de travail, c'est difficile ! Je ne sais pas du tout si un jour je serais en capacité de reprendre à temps plein. J'essaie de ne pas trop y penser.

Courage à tous. Cléophas

Je suis de tout coeur avec toi Jack et comme je te comprends !!! à force de renvoyer des mails à la Ma... (qui avait classé mon dossier) en leur disant ce que je pense d'eux, ils me proposent de choisir un autre médecin conseil !!!!!!!!!!!!! je leur avais précisé que je n'allais pas encore végéter longtemps dans cet état et qu'avant d'en finir, je ferai des courriers à qui de droit, pour dénoncer toute cette parodie d'expertise !!
je dois dire que je suis bien trop fatiguée pour me lancer à nouveau dans une confrontation ! et repartir sur des mois de procédure ! de toute façon la CRCI a clos le dossier !
Accroche toi et va jusqu'au bout, Sylvie.

Merci Jack,
Tu as la force que je n'ai plus.
Je me refuse à vivre (plutôt à survivre) en laissant derrière moi tous mes beaux projets ! vivre à deux à l'heure ce n'est pas mon truc et m'intoxiquer avec des médicaments non plus !
Je voudrai pouvoir regarder ce médecin (non ce boucher) dans les yeux et réussir à lui faire avouer qu'il est responsable de mon état lamentable (et je suis certaine qu'il en est conscient, pour preuve les énormités qu'il a rajouté dans ses comptes rendus pour se protéger, suite à ma plainte). Il m'a bien confirmé (mais sans témoin) quand je lui ai dit : vous n'avez pas fait la chirurgie prévue ! à cela il m'a répondu : on ne c'est pas compris... et ça aurait trop douloureux !! pour qui ?? pour lui ou pour moi !!
La seule chose de positive est que je mets en garde les personnes qui doivent ou peut être un jour devront passer sur le billard pour des problèmes situés dans cette zone dangereuse, que mon "cher gastro" connaissait !
Bon courage à vous tous, Sylvie.

bsr on a un système de merde c'est tout, quand je vois tout ceux qui réellement profitent de la sécu... mais faut pas le dire...alors oui on passe pour des tire au flanc, moi je n'en suis pas encore, là mais je me demande ce qui m'attends si les douleurs deviennent chroniques (pour l'instant que trois épisodes très douloureux de 4 mois depuis janvier 2011) mais quand j'en parle au médecin de mon travail, j'ai de la chance, elle connaît cette pathologie donc ça aide, elle comprend, elle m'a même proposé de passer en handicap afin que je puisse bénéficier d'un aménagement de mon poste de travail, bureau plus haut avec siège plus haut (type tabouret de bar ) pour poser le bout de mes fesses seulement, ou la chaise, assis/genoux bref elle essaie de trouver des solutions pour me soulager au bureau? Mais pour l'instant je ne souhaite pas être reconnu "handicapée" mais on verra comment vont évoluer mes douleurs, donc oui cela dépend du médecin, c'est pas normal. Battez vous, je sais facile à dire quand on a épuisé tous les recours possibles; Ecrivez à Marisol Touraine, en lui envoyant tous vos papiers et honoraires que vous réglez et demandez lui qu'elle aide elle peut vous apporter en lui disant que elle, elle a bien de la chance de tenir assise derrière son bureau et qu'elle peut vadrouiller ou elle veut aux frais de la princesse en plus, non mais, ....Moi je ferais ça je me connais, un coup de colère et la lettre et toutes les pièces jointes arriveraient sur son bureau, zut de zut