Merci à Jack, et surtout à Olivia, pour ne pas me laisser me parler à moi-même sur ce post !!
Je me sens moins seule et un peu soutenue! Olivia ne t'inquiète pas, j'essaie de rester motivée tout de même!
Ce dont je parle n'a l'air d'intéresser personne, et pourtant…je pense que la posturologie pourrait peut-être aider certaines personnes du site. Personnellement, pour rappeler mon cas, j’ai 25 ans et j’ai été déclarée Syndrome Pelvien Complexe et Syndrome myofascial par Nantes ET Aix, donc formellement non-infiltrable, on me refuse également l’EMG pour l’instant…J’ai également d’autres douleurs ‘bizarres et inexplicables’ du genre tendinites et bursites à répétition, douleurs lombaires et cervicales. Donc je reste active et cherche d’autres moyens d’améliorer ma situation.
Pour ce qui est de la posturologie, voilà un témoignage que j’ai trouvé sur internet et qui a été très parlant pour moi, et vous motivera peu-être aussi. En effet, je n’ai de cesse de m’interroger sur le ‘pourquoi’ on déclenche un syndrome myofascial ou une névralgie pudendale…Voici le témoignage de la belle amélioration de l’homme en question qui a suivi un traitment posturologique (premier site qu’on obtient en tapant dans google ‘posturologie et névralgie pudendale) :
« Traité par Posturoception depuis plusieurs mois, je voudrais apporter un témoignage personnel à destination de celles et ceux qui souffrent de douleurs chroniques.
Début 2013, des douleurs, sensations de brûlures et de décharges électriques violentes sont apparues dans mon bassin et zones périphériques.
Compte tenu de leur aggravation et surtout de leur installation quasi-permanente, j’ai consulté plusieurs praticiens (neurologues, urologues, rhumatologues, internistes…) jusqu’à ce que, 6 mois après l’apparition des premiers symptômes, soit enfin diagnostiquée ma pathologie : une névralgie pudendale.
C’est une affection neurologique touchant un nerf qui se trouve dans la région profonde du bassin. Pouvant à tort être confondue avec des troubles gynécologiques ou urologiques, cette névralgie provoque des douleurs parfois insupportables.
Tous les traitements proposés (antiépileptiques, antalgiques puissants, infiltrations…) n’ont eu chez moi pour résultats que des effets secondaires invalidants pour des améliorations à peine sensibles.
Sur le point de me résoudre à une intervention chirurgicale aux résultats très aléatoires, j’ai reçu de la part de mon algologue (médecin antidouleur) le conseil de rencontrer un praticien en posturoception, avant de prendre cette décision risquée.
Lorsque ce docteur me reçut, j’étais moi-même assez déprimé, confronté aux conséquences de mes douleurs sur mes vies personnelle et professionnelle. Le pire était qu’aucun des praticiens rencontrés auparavant n’avait pu m’expliquer l’étiologie (causes) de ma névralgie pudendale.
Et me voir par eux proposer des traitements symptomatiques, sans qu’aucune origine précise à ma pathologie ne soit jamais évoquée, n’avait rien de cohérent, de logique et surtout de….rassurant pour la suite !
Cette première consultation avec le ce praticien fut pour moi édifiante…
Après une longue série de tests et examens, il m’expliqua que ma posture était sous diverses contraintes qui avaient de fortes probabilités d’avoir eu la névralgie pudendale pour conséquence.
Il me fit alors effectivement constater (preuves à l’appui) que j’avais des problèmes de convergence oculaire, d’occlusion buccale, de cicatrices « pathologiques », de faiblesse musculaire, de torsion de ma colonne vertébrale…
Et ces contraintes avaient été exacerbées par la longue rééducation « à marche forcée » que j’avais due suivre en 2011 et 2012, à la suite d’une maladie auto-immune (syndrome de Guillain Barré).
Il m’indiqua la marche à suivre pendant 10 mois pour mener à bien le traitement de posturoception.
J’avais enfin l’explication, les raisons de cette névralgie pudendale et un traitement adapté de mon processus postural…
Voilà 7 mois que je suis traité.
Je ne prends plus aucun antalgique depuis 6 mois. Mes douleurs ont diminué, en moyenne, de 50 %, avec des phases ou les douleurs se transforment en simple petite « gêne ». Certes, je connais parfois quelques récidives, sous forme de crises (comme il m’en avait prévenu) limitées à quelques jours. Mais même ces petites crises s’amenuisent en intensité.
Je « ressens » profondément que je suis sur la voie de la guérison.
Et j’aimerais que d’autres, souffrant au quotidien, puissent bénéficier de cette approche novatrice qui me redonne la joie de vivre. »
Femme 26 ans. Début NP juillet 2014. Synd.myof et hypersensibilité (diag: Nantes et Aix)
Lyrica,laroxyl,crèmes vulvaires, renforcement lombo-pelvien, étiremts.
Juin 2015: infiltrations puden.(G+D) + injections botox à Aix (G+D), du mieux.
Synd.myof. ischio-coccygien apparu suite à manip chiro, janv 2016.