Bonsoir tout le monde,
En effet, je partage les points de vue :
- d'Hélène "les spécialistes ont plutôt appris à ce qu'il ne faut pas faire (chirurgies... infiltrations...) au lieu du "faire".
- de Paulette "il vaut donc traiter les conséquences" telles que la douleur, la qualité de vie, via un centre antidouleur de CHU avant de chercher par dessus tout un "diagnostic".
Ces deux approches sont les bonnes depuis plus de 20 ans que je traîne cette NP. Pour ma part, j'ai fait 3 centres anti douleur et évidemment celui du CHU de Lille à l'Hôpital Neurologique Salengro m'a le plus aidée... déjà en me prescrivant très vite un traitement différent exclusivement neuro donc efficace, des perfusions, et des examens électrophysiologiques très spécialisés (EMG, Potentiels évoqués...) qui ont révélé la NP et le syndrome de queue de cheval chronique évolutif. Je suis ravie de ne pas avoir fait de chirurgie... qui aurait pu encore me "dégrader". On peut vivre avec cette maladie mais c'est clair qu'elle est invalidante en touchant la vie sexµelle qu'il faut imaginer autrement... sans parler de la station assise...
Je partage certaines analyses qui déconseillent la chirurgie (je salue Christine64... miolichri...

)
Courage à toutes et tous...
ET exigez d'être soulagé(e) déjà par des médicaments et de la kiné (étirements) +/- TENS si cela marche pour vous.
Louise.
F - 54 ans 2004 Tumeurs pelviennes et syndr chronique queue de cheval du à 1 péridurale
2013 Neurovessie autosondages paraplégie flasque fauteuil roulant
2018 - 19 NP bilatérale, moelle épinière atteinte : neurostim possible?
Ttt : Coussin!!! Lyrica Laroxyl/Anafranil Xatral kiné pr le confort.