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[ketty]

Avez vous des problèmes intestinaux ainsi qu'au niveau du colon dû à votre névralgie du NP et si oui, comment se manifestent-elles?

[geffroy]

bonjour ketty
et oui des problemes de constipation je connais depuis bientot 6 ans (ca peut peut etre expliquer la np) il faut toujours bien boire le matin a jeun et je prends regulierement du forlax 1 sachet + cure de temps en temps de la flore intestinale et depuis tout va bien

[ketty]

Quand je parlais de prb intestinaux et de colon c'était plus au niveau douleur que constipation. Par exemple, coupS de poing dans le bas ventre, affreuses brulures et comme des bulles qui eclatent et qui font super mal.

[geffroy]

non ketty je ne ressens pas de douleur particuliere

[MARTINE.A]

[ketty]

Pouvez vous me dire quels sont les aliments à manger et ceux à eviter ?
Merci

[Camomille]

Conseils diététiques et autres
- "manger léger" : cette consigne est aussi valable pour les troubles intestinaux que pour les problèmes d'estomac. Des rétroactions font qu'un estomac encore plein peut favoriser l'envie pressante d'aller à la selle.
- manger lentement en mâchant complètement : ce comportement accélère la survenue de la satiété, améliore l'absorption des aliments, réduit le risque de fermentation et d'altérations de la muqueuse intestinale.
- Les habitudes alimentaires : observer des horaires réguliers de repas est le meilleur moyen de permettre au corps de s'adapter. Cette remarque est particulièrement importante .
- Consommer avec modération les aliments agressifs (peau des fruits - pomme, poire -, lentilles, maïs, choux, flageolets…)
- Eviter les boissons froides et très sucrées : la consommation de liquide dont la teneur en sucres est très élevée peut provoquer des diarrhées. De même, le froid est particulièrement agressif pour la muqueuse intestinale et difficile à absorber pour l'organisme.
- Rester calme ! (psychologie/être calme) Difficile à faire ! Pourtant, le stress favorise les problèmes intestinaux.

Les aliments fermentescibles :

les crudités, la famille des choux, navet, brocoli, poivron, oignon, maïs, choucroute, pois secs, fèves sèches, lentilles, prune, pruneau, famille des melons, ananas, avocat et pomme crue.
Attention, tous ces aliments ne doivent pas nécessairement disparaître de votre alimentation. Vous pouvez, par vous-même, identifier, UN PAR UN, les aliments que vous mangez et indiquer si oui ou non ils provoquent des ballonnements.

D'un autre côté, la constipation est souvent source de gaz intestinaux. Un apport élevé en fibres alimentaires, pour régler ou éviter la constipation, sans une hydratation adéquate, ne fera qu'accroître le problème et le ballonnement. Les fibres nécessitent de l'eau, afin qu'elles puissent se gonfler et agir sur l'élimination intestinale. D'où l'importance de boire 4 à 6 verres d'eau par jour.

- l'ingestion d'anti-inflammatoires non stéroïdiens. Ce grand mot désigne plus banalement les comprimés comme l'aspirine et autres qui sont connus pour être responsables d'une réduction du flux sanguin au niveau de l'estomac par constriction des petites artères. Une fois encore, moins de sang signifie plus d'altérations de la muqueuse gastrique donc plus de problèmes digestifs.

quand je vous disais un cercle vicieux !!!!!!!

[ketty]

Merci pour toutes ces precisions si détaillées. Elles me seront bien utiles en tout cas!
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35 ans,NP bilatérale depuis 14 ans,diagnostic Juillet 2005, 4 dbles infiltrations et kétamine sans résultat. Opération par voie trans gluteal coté droit le 11 Mai 2006 et coté gauche le 21 Septembre 2006.Opération par voie vaginale le 26 Juin 2007.

[Marie.M]

Sans vraiment de douleurs particulières de type coliques, j'ai néanmoins des pbs d'élimination, la sensation de ne jamais avoir tout évacué, et la difficulté pour le faire lorsque c'est le cas, la sensation d'un poids ou balle au niveau du rectum...
Cette gêne se surajoute aux autres douleurs et quelquefois ras-le-bol, je prends de la gelée''lansoÿl pour aider et je bois beaucoup de toute façon car j'ai des pb aussi urinaires anciens...
Merci pour les conseils glanés plus haut sur le régime à suivre très bien expliqué!
Marie.Ml
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diagnostiquée NP par un EMG en 2006

[StéphanieD]

Bonjour,
Personnellement, j'ai des diarrhées depuis 4 mois et les décharges éléctriques qui vont avec dans tout l'entre-jambe pour parler en termes choisis....mon médecin généraliste pense que c'est dans la tête car je viens de perdre mon travail et m'a suggéré de prendre tous les jours du smecta...je me demande après avoir vu le "ça se discute" où j'ai enfin compris ce que j'avais, si ça bêtise n'est pas encore plus incurable que la NP Bref, j'ai des douleurs dans le bas-ventre, au niveau vessie (car on m'a diagnostiqué de la cystite interstitielle en 1998) insupportables tous les matins et après chaque repas. Donc effectivement le smecta soulage les maux de ventre (un peu...faut pas rêver non plus) mais surement pas les décharges. Voilà pour mon témoignage. Bon courage à tous

[Amel]

Mon témoignage: souffrant d'une maladie de Crohn depuis 15 ans on ne peut pas dire que je souffre de constipation mais plutôt l'inverse.

Le fait d'aller souvent à la selle en cas de crise diarrhéique aggrave la douleur de la NP ce qui n'étonne pas un des (trop) nombreux médecins que j'ai vus. En effet le muscle releveur de l'anus (amis de la poésie bonjour) côté gauche (côté de ma NP) doit déguster dans ces cas là.

[Marie.M]

Bonjour, je vous partage ce qui marche pour moi dans la gestion de mes problèmes intestinaux:
A jeun, je prends une cuillerée à soupe de paraffine; le petit déjeûner est fait de thé, lait de soja, céréales complètes ou biscottes complètes.
Les autres repas: suppression totale du pain(ballonnements et gaz) et remplacement par du riz complet bio avec des légumes, viande grillée ou poisson.
Entre les repas ,je bois bcp d'eau.
Comme traitement, avant chaque repas, je prends deux gelules de Météoxane pour éviter les ballonnement et douleurs intestinales(les spasmes me déclenchaient des décharges électriques sur les zones sus-pubienness, périnéales, intravaginales)
Je prends ausii un comprimé d'ODDIBIL(phytothérapie: du fumeterre pour permettre à la vésicule de ne pas envoyer de décharges sur l'intestion post-repas afin de limiter le réflexe bucco-annal.)
Tout ceci a fait l'objet d'un long chemeinement à tâtons avec mon osthéo qui est formidable et sait décrypter les choses. Elle remonte la chaine en quelque sorte et fait tout pour que la douleur ne se déclenche pas.
Je prends tout de suite après les repas du lactulose, pour rendre les selles molles et permettre que l'élimination se passe sans douleur!
Cela marche.
Je dois avouer que ce n'est pas trop contraignant et que je m'organise!
Le plus dur est à l'extérieur de la maison: si je fais un écart, je le ressens, je veille alors à nettoyer mon organisme d'un léger potage et d'un yaourt.
Voilà! En tout cas, je suis passée d'une fausse constipation (car il y avait selles, mais difficilesà passer, à évacuer comme si j'avais une boule dure coincée) et excusez-moi de dire les choses comme cela, mais j'ai dû à plusieurs reprises m'aider de mes mains pour l'expulsion et aider le muscle anal.)
Je suis passée donc à des selles régulières. Les éliminations se passent mieux. Mais mon iosthéo ville aussi à ce que je ne tombe pas dans l'excès inverse,"le colon irritable".
Voilà pour ce qui me concerne, peut-être vous retrouverez-vous sur ce profil?
Bon courage à tous
Marie.M
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diagnostiquée NP par un EMG en 2006

[Kuro]

Bonjour à tous,

Pour ma part, les pb intestinaux ont commencé 3 ans après les douleurs fessières. Ce sont des crises aigüe spasmodique du sigmoïde et du colon transversale. Surtout le matin. Ca prend la matinée le temps qu'il n'y est plus rien à remettre et que le spasfonlyoc fasse effet. C'est presque cyclique. Quand j'ai mal au sacrum j'ai des crises intestinales et qund je ne souffre pas trop je n'ai rien. Les crises peuvent être violente, type contraction d'accouchement (j'ai jms eu d'enfants mais j'ai décris mes symptome à ma mère).
En dehors de me traiter de colopathe fonctionnel, je n'ai aucune aide ...
Bon courage
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Floriane 28 ans, a souffert d'une NP pendant 10 ans avant le diagnostique.